École Héméra
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École Héméra

École de Sorcellerie
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 Jeïm Luciole

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AuteurMessage
Jeïm Luciole
Élève de Saevitia - Première année
Jeïm Luciole


Nombre de messages : 1

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Statut: Actif

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MessageSujet: Jeïm Luciole   Jeïm Luciole EmptySam 29 Juil 2006 - 16:06

[Sharra débarque sur Héméra, salut à toutes et à tous ! Very Happy ]

Nom : Luciole

Prénom : Jeïm

Âge : environ 17 ans

Origine(s) :
Début 1498. Comme d'habitude, la chaleur est étouffante sous les arbres touffus de la forêt, et le petit crachin qui tombe depuis le matin n'arrange guère la situation. L'humidité est oppressante. Quelques coups de machette retentissent dans le silence ensuqué qui enveloppe les sous-bois.
Des indigènes se frayent habilement un chemin dans cet immense labyrinthe, ils semblent expérimentés, et pour cause : ils habitent non loin de là, près d'un cours d'eau, et la forêt amazonienne les nourrit. Habillés de peaux légères, le visage peint, ils sont quelque peu... sauvages. A un moment, ils débouchent sur une vaste clairière. Totalement déboussolés, ils s'éparpillent sur la pelouse miraculeusement rase, lèvent les yeux vers ces hauts murs sortis tout droit d'un conte. Ils viennent de découvrir l'école toute neuve d'Héméra.

Plusieurs décennies passèrent sans que rien ne leur permette de comprendre la nature et l'utilité de tels bâtiments. Eux ne connaissaient de la magie que quelques pratiques vaudous douteuses, et leur shaman n'en appellait aux esprits qu'en de très rares occasions. Mais une nuit, la petite tribu autochtone entendit des bruits très étranges en provenance du "temple", comme ils le nommaient. Les plus vaillants de leurs chasseurs se rendirent au fin fond de la forêt pour savoir ce qui se passait... Et en fait, c'était un lycanthrope qui, en cette nuit de pleine lune, avait réussi à s'échapper de l'école et qui courait à travers les bois en hurlant.
Un des chasseurs mourut sur le coup, happé par les crocs du loup-garou. Deux autres furent mordus mais s'en tirèrent. Ceux qui restaient usèrent de leurs lances et de leurs dagues pour achever l'étrange bête, qu'ils laissèrent sur place, refusant de manger une telle chose.
Le mal se perpétua dans leur tribu, bien sûr, et leur population diminua sensiblement car ils étaient obligés de tuer ou d'exiler ceux qui avaient été contaminés par le lycan. Quant aux sorciers, vous vous en doutez bien, ils ne furent pas très heureux de voir qu'un de leurs élèves avait été tué. Ils se mirent à faire leurs expériences magiques en-dehors de l'enceinte de l'école. Ils déversèrent des potions de leur cru sur les terres de la tribu, épouvantèrent les enfants, firent fuir leurs parents. Les habitants de ce bout de forêt devenu maudit s'en allèrent pour s'installer à la lisière de l'Amazonie. Touchés par des maux qu'ils ne comprenaient pas, ils instaurèrent un culte en l'honneur des dieux forestiers. Certains d'entre eux avaient des facultés bizarres, il leur poussait des cornes, ou alors ils avaient soif de sang, ou encore ils dégageaient en permanence une lumière bizarre. Ceux-là furent isolés et traités avec une vénération teintée de peur.

Race : être luminescent, dit "luciole" (voir l'histoire)

Physique :
Une ombre s'étire par terre. Vous levez les yeux ; il s'agit de celle d'un jeune garçon à l'air hagard. Il possède un corps d'adulte, grand et bien taillé, mais à la maigreur et à la pâleur presque maladives. Ses doigts osseux semblent être toujours en activité, signes d'une nervosité contenue. Quant à son visage, il n'est pas en adéquation avec le reste de son physique : fin et efféminé, la plupart du temps couvert d'une moue candide, on lui donnerait une douzaine d'années. Le regard que vous croisez est lui aussi plein d'innocence et d'indulgence, d'un gris aux reflets changeants selon la lumière extérieure. Quelques cheveux fins et ébouriffés passent devant par moment, et le jeune homme les repousse avec indifférence. Une large croix, modelée dans un métal terne, s'étale sur sa poitrine ou par-dessus son habit de peau. Des vêtements de mauvaise facture viennent compléter son attirail.

Histoire :
Lisière de l'Amazonie. Il y a presque dix sept ans de cela - mais le compte des années s'est perdu dans cette région aux saisons peu définies, et on aurait été bien en peine de lui donner un âge précis - naquit un petit garçon. Les moeurs avaient bien changé depuis l'époque de la découverte du temple, mais il y avait toujours des phénomènes étranges dans la tribu qui s'était agrandie jusqu'à former un village (quelques maisons de boue, une sorte de bidonville entourés de terres arables mais détrempées). Le sang des humains s'était mélangé à d'autres ethnies, et les traces de sorcellerie se faisaient de plus en plus rares. Mais parfois, comme ce fut le cas dans cet enfant, elles revenaient, après avoir sauté plusieurs générations. C'est ainsi que Jeïm Aneoüke Lumbayit ru'Samnet (littéralement : Jeïm, fils d'Aneoü de la tribu Lumbayit, béni par la lumière) fut élevé dans une cabane loin des autres enfants, par un curé qui remplaçait l'antique rôle de shaman.
Dès son plus jeune âge, il fascina et effraya sa famille. Premier enfant d'un jeune couple indigène (qui se refusa à avoir d'autres bébés, d'ailleurs...), il avait souvent des crises qui lui enlevaient toute force. Quand il se mettait à pleurer, ce qui est hélas fréquent chez un nourrisson, il dégageait une lueur légèrement verdâtre qui allait en s'amplifiant. Il n'y avait aucun remède à cela ; il fallait attendre qu'il se calme. Néanmoins cela n'était pas sans effet : à chaque fois sa peau semblait moins hâlée, ses joues se creusaient et il maigrissait inévitablement. On remit son éducation à un homme de foi qui lui enseigna plusieurs langues ainsi que des rudiments de lecture et d'écriture. Les soins qu'il apporta autant à son corps par des plantes médicinales qu'à son âme par une foi dogmatique sauvèrent le garçon fragile. Mais Jeïm, à son adolescence, n'en put plus de vivre en reclus et retourna au village.

Tout se passait pour le mieux jusqu'au jour où il participa à un stupide concours de beuverie avec ses nouveaux amis (il s'était révélé très sociable). L'alcool déclencha chez lui une réaction bizarre, une trop grande émotion, et un afflux de substance luminescente dans son sang. Peu à peu il devint si brillant que ses compagnons s'inquiétèrent, et finalement prirent peur. Courant jusqu'aux huttes du village en hurlant (soûls qu'ils étaient) ils ameutèrent toute la population qui se massa autour du pauvre Jeïm. Ce fut le début de ses ennuis. Au début mis en cage, suspecté de sorcellerie, on l'utilisa pour toutes sortes d'expériences en lien avec les esprits. Il servit même de lampe de chevet à sa mère.
Ces déboires vinrent à l'oreille d'un vrai sorcier de la région, Peter Astridy, qui lui était tout à fait banal et avait fait ses études aux Etats-Unis dans une école de magie réputée. Il rendit visite au jeune homme, mais ne réussit pas à lui parler à cause de l'état de ce dernier, qui se révélait critique : à force d'être toujours aux abois, se sentant agressé au moindre geste, il enchaînait crise sur crise... Transféré d'urgence dans un hôpital magique, Jeïm réussit à retrouver la santé. Pour stopper sa luminescence, il apparut qu'il suffisait de lui lancer un sort de stupéfixion... Néanmoins, il ne retourna pas vivre avec sa tribu, après avoir découvert ses étonnantes facultés en matière de sorcellerie. Ayant pour tout bagage les vêtements que lui avait donnés Peter, et pour toute attache Peter lui-même, Jeïm se rendit dans cette école Héméra dont on lui avait tant parlé. Il y prit le nom de Luciole, autant pour se couper de ses liens avec sa famille que parce que tout le monde, chez lui, l'appelait désormais ainsi.

Caractère : C'est un garçon très prosaïque, qui voit toujours le côté matériel des choses. Les sciences abstraites le dépassent totalement. Il prend peu d'initiatives, se laisse aisément guider et n'aime pas avoir des responsabilités. Insouciant jusqu'à la désinvolture, il peut rester des heures sans rien faire et éprouve beaucoup de mal à s'inquiéter d'autre chose que de son propre sort. Il se montre généralement méfiant envers les inconnus, mais dès qu'il est mis en confiance il se révèle être bavard et assez ouvert. D'ailleurs, il ne critique jamais ouvertement ses pairs, ce qui n'indique pas pour autant un amour universel...

Qualités : sociable, sait s'amuser quand il est en forme, veut voir le bien en toute action et personne, évite de faire aux autres ce qu'il n'aimerait pas qu'on lui fasse

Défauts : jamais franc, désinvolte, a tendance à s'apitoyer sur lui-même, ne sait pas garder un secret

Poste dans l'École : élève

Amours/Ami(e)s : Aucun.

Signe(s) Particulier(s) : Quand il ressent une grande détresse, éprouve une émotion violente ou a l'impression d'être agressé, son corps a une réaction immédiate qui lui fait perdre tout contrôle : il ne maîtrise plus ses mouvements et dégage une lumière blanche éblouissante. Après chaque crise, il est un peu plus faible et sa peau est un peu plus pâle...

Animal de Compagnie : Aucun.
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