École Héméra
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École de Sorcellerie
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 Kalhan Myazaki

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AuteurMessage
Kalhan Myazaki
Élève de Saevitia - Première année
Kalhan Myazaki


Nombre de messages : 16
Race : Sorcière
Âge : 14 ans

Feuille de personnage
Statut: Actif

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MessageSujet: Kalhan Myazaki   Kalhan Myazaki EmptyLun 20 Mar 2006 - 22:09

(Bon je sais je triche. C'est presque que du copier-coller xD ... Mais après tout, on est perfectioniste ou on l'est pas, et on peut flemmer la conscience tranquille Razz )

Nom : Myazaki

Prénom : Kalhan

Âge : 15 ans

Origine(s) : De nationalité française mais de parents japonais.

Race : Simple humaine, sorcière.


Histoire :

l y a 11 ans, a l’intérieur des loges d’une cavalière de ……, cirque renommé a Tokyo, naquit la petite Kahlan. Fruit d’un amour sans lendemain entre une dresseuse de chevaux et un homme d’affaire.
Fille unique d’une mère trop protectrice, la petite japonaise bénéficiait dans un tel climat d’amour et d’attention qu’elle finit très tôt par étouffer, allant parfois jusqu'à essayer de fuir cette gentille maman qu’elle aimait plus que tout.
Heureusement pour la fillette, les autres forains de la troupe étaient loin d’être aussi envahissant. Si ils formaient à eux tous une seconde sphère familiale, ils laissaient la fille de Lyu allait et venir entre les jongleurs et les dresseurs sans trop s’inquiéter pour elle.
Kalhan n’a aucun souvenir de l’archipel de ses origines. Le cirque perdant de la notoriété décida de s’exiler en Europe, leur choix se porta sur la France. C’est ainsi que peu avant ses quatre ans, la petite se réveilla avec pour horizon une plage de Nord Pas De Calais.
Ce que regrettera plus tard la jeune fille, c’est que nos chers itinérants ne prirent jamais le temps de lui inculquer un minimum de culture japonaise. La petite ne parle donc que le français et ne connaît du pays des nippons que ce que lui laissait voir son atlas. Ce ne serra que plus tard à l’école de magie, qu’elle trouvera dans les livres ce qui lui manquait de racines.
L’entourage de la jeune fille resta limité, le chapiteaux et les caravanes levant le camp toutes les deux semaines. En dehors de son cocon mouvant, elle ne connaissaît personne et ne put donc pas accomplir l’apprentissage d’une vie sociale normale.
Presque seuls enfants dans ce monde de grands gamins, la jeune japonaise passa la plupart de son temps avec le fils des nouveaux trapézistes, le jeune Matteo. De trois ans son aîné, le garçon différenciait de Kalhan en bien des points. Mais quel enfant chercherait à tout prix une âme sœur pour une partie de cache-cache ? Si peu probable soit-elle, une profonde amitié lia les deux enfants.
Le reste de ses journées, elle le passait sur un fil (la jeune fille avait pris goût au funambulisme, en partie pur le plaisir mesquin mais innocent de voir enrager sa pauvre maman.) ou dans la loge d’Armand, un instituteur entièrement consacré à Kalhan et Matteo.
L’été de ses onze ans, Kalhan reçut une lettre de Magileige. N’étant pas enchanté de quitter son train-train quotidien, elle n’y alla qu’à contre cœur, pas le moins du monde enchanté par la perspective d’étudier la magie …

(C'est l'ancienne histoire et je ne suis pas motivée du tout pour la refaire alors je me contenterais de compléter ^^.)


Lettres à Matteo, 11 février 2005. (Elle les a perdu.)

[....] J'entends encore Ces Ricanements résonner dans les profondeurs de mon être. Si cruels et si dur, la jouissance de l'inhumanité elle même. Mais cela ne m'avait pas paru étranger, bien au contraire. C'étaient comme si pour la première fois ce qui sortait de mes lèvres étaient en accord avec le sang, le venin dirait certains qui coulait en même temps si fort et si calme à l'intérieur de moi. Le fait de voir le visage de la gamine disparaître sous des nuées de larmes si douces, si fraîches et dot on pouvait pourtant sentir les lames poignarder l'être de celle-ci. Si j'ai pu engendrer ses pleurs, j'ai pu aussi ressentir le néant que cela engendrait chez Reika. C'était un plaisir à double tranchant que de créer la souffrance pour pouvoir être en accords avec celui qui la supporte, se glisser quelques secondes sous sa peau pour partager avec lui la douleur de sentir les vers invisibles de son passé dévorer et corrompre son présent puis ressortir encore plus puissant encore .Je m’étais dit que je les contrôlaient, qu'ils ne pouvaient plus m'atteindre, plus jamais. Je me suis senti heureuse, heureuse de pouvoir regarder ce monde d'obscurité de haut, d'en tirer les rênes au lieu de subir les fouets. Devrais-je avoir des remords de me sentir si bien quand les esprits des autres se déchirent ? Je sais ce que tu dirais mais non, je n'aurais jamais de regret [....]

[....] L'incompréhension. C'est ce que j'ai souvent vu dans le regard de cette pimbêche quand elle me voyait à l'action. Mais cette incompréhension est réciproque. Non, en fait moi c'est dix fois pire ! Je n'arrive pas à faire autrement que la haïr, assister aux mêmes cours qu'elle est un supplice énorme et je la hais tellement que je me sens dans l'incapacité totale de me montrer aussi monstrueuse avec elle qu'avec les autres. L'être humain peut avoir ce genre de comportement bizarre. Mais je me dis que tant qu'elle ne goûtera pas le goût de la vraie noirceur, elle ne pourra plus retrouver sa lumière et que si elle veut retrouver ses espoirs d'autrefois, il lui faudrait souffrir vraiment. Je ne lui ferais pas ce cadeau, je la déteste ... [....]

[...]Comment ai-je pu déclencher ce genre de réaction ? Ce gamin avait l'air presque comme les autres, un joyeux mioche qui pleurnicherait comme les autres quand les choses se gâteraient. D'où pourrait bien venir cette métamorphose soudaine ? Le monstre que j’avais face à moi semblait pire que moi. En même temps infernale mais aussi incontrôlable. Je n'aurais pas pu prévoir ce genre de réaction. Sur le coup, je me suis senti furieuse et surprise. J'aurais presque du le tuer pour la façon dont il a osé me parler, me traiter et pourtant ... La surprise sûrement, je n'ai pas envie de détailler plus la scène sache juste que je l'ai vécu comme une terrible humiliation, que je n'ai ressenti aucun plaisir à engendrer cet être si horrible et pourtant c'est bien moi qui l'ai fait et c'est bien moi qui [...]
[....] La vérité est dévoilée. Ne m''en veut de ne plus trouver la force de te mentir, ne m'en veut pas de 'lavoir trouver autrefois. Si l'oubli et le reniement de nos années d'enfance si douces peuvent t'épargner la tristesse et la souffrance que portent ces phrases ci-dessus, alors oublie moi. Ne dis pas à Maman ce que je viens de te livrer, elle ne pourrait pas elle détester sa propre fille. Si tu a encore un peu de considération pour notre amitié, respecte cette dernière volonté. Et sache que si mon vrai être te dégoûte, il te porte toujours en son coeur, aussi glaciale soit-il ....

Kali, noire déesse qui vous aime, maman et toi. [.]


Ce matin.


Une odeur, une augure de malheur sur une banquette de train. Les gens passent ou observent de loin mais ne stoppe pas leurs routes. Kalhan est assis dans le train. La montre sonne l’alerte. Les minutes la séparant d’Héméra sont courtes. Qui s’est déjà demandé ce que représentait une rentrée importante dans le crâne d’une psychopathe de la quinzaine ? Un peu prés la même chose que pour tout les autres. Un sentiment d’appréhension qui vous berce insidieusement. La peur de changements trop importants, Kalhan la ressentait plus que n’importe qui d’autre ! Elle, froide maîtrise de soi, entonnoir choisissant les pulsions auquel il céderait, perdre le contrôle ? Elle appréhendait ça plus que tout ….

Pendant quatre années, elle avait entamé une descente, oui mais une descente contrôlée dans ses propres enfers. Le monstre, l’animal qui soulève chaque humain, il lui semblait bien qu’elle l’avait apprivoisé. Ou bien inversement ? … Quoi qu’il en soit, la partie gagnante d’elle-même régnait et régnerait sur elle et tout ceux qu’elle rencontrait. Elle était pour eux les abysses, une boîte, un gouffres relief de leurs propres vices .... L'enfer, c'était bien elle, pour les autres.




Caractère :

Une chose est sûre, et ses camarades magilegeois l’ont appris, elle n’est pas agréable à vivre…
Taciturne, la jeune japonaise sait quand il le faut rester discrète et peut faire preuve d’un calme les plus inquiétants. Ajoutons à ça un sens affiné de hiérarchie ainsi qu’une douceur faussée …
Pourtant une agressivité refoulée, se cache sous cette carapace de sang-froid, laideur cachée d’une fille au airs quasi sages. Plus qu’une agressivité, une véritable méchanceté. Le problème de Kalhan est là, elle n’aime pas les gens en général. Si elle leur tourne autour, qu’elle les observe fascinée, elle finira tout de même par essayer de trouver une faille, une tâche à ces camarades, puis par les détruire. Quoi de plus naturel, que de casser ce ne que nous ne comprenons pas, ce que nous maîtrisons. Ca a ce quelque chose de subtilement plaisant, de trivial, d’anarchique. Si bien que c’en est devenu pour Kalhan un jeu qui ne va pas parfois sans remords. Remords qu’elle étouffe bien entendu, malaise qu’elle rejette sur la société bien évidemment.
La jeune fille aime également se mouiller dans des affaires louches, même si elle reste trop méfiante pour tremper dans des situations qui la mettraient réellement en danger. Mais si c’est aux dépends des autres, pourquoi pas.
Autre point important chez la jeune fille : Celle-ci est dotée d’une sensibilité hors du commun, seulement elle ne l’implique pas dans sa vie sociale. Intuitive et imaginative, la jeune fille est passionnée de littérature (grande adepte des Fleurs du Mal, entre autre.) et depuis peu, de cinéma. Ce dernier la hante jusqu’à lui avoir appris en deux mois ce qu’elle n’avait jamais compris : le plaisir qu’on pouvait prendre à observer simplement des choses, puis à les redire à sa manière, comme à travers un filtre personnel.
Tout le reste ne serrait que détail et subtilités que vous verrez par le jeu et que je ne juge pas utile de relever ici.




Qualités : Bonne sensibilité littéraire et artistique, forte intuition, personnalité forte et ambitieuse …

Défauts : Perversité, hypocrisie parfois, entêtement, taciturnité, associabilité, (bon ça se dit pas xD)

Physique : Des jupes de lycéenne, des bas noirs et rouges, des cheveux flottant sur ses hanches, des mollets de chairs en évidence ….. Si Kalhan cultive l’apparence d’une jeune femme, elle reste malgré tout une enfant. Complexée par sa petite taille, vous verrez sans doute la jeune fille se raidir vers le haut, s’allonger jusqu’au point culminant d’une tension insupportable. Encore un peu frêle, une peau presque translucide, des membres tout en longueurs, la japonaise vous fait l’impression d’observer une poupée de porcelaine menaçant de s’ébrécher à chacun de ses pas. Ses courbes définitives hésitent encore un peu à apparaître, ce qui rajoute encore à l’amertume de la jeune fille. Tout de son attirail dénonce l’empressement de l’adolescente de pousser à bout un corps qu’elle ne trouve plus assez bien pour elle.
Son visage joliment lunaire, son petit nez retroussé, ses longs cils battant chaque seconde ont tout de l’attirail d’une poupée.
Ses grandes prunelles d’un bête marron, sous ses sourcils noirs et ses mèches de jais apparaissent d’un sombre exquis.
Pas besoin de vous dire que la première impression que laisse Kalhan a tout pour plaire à son entourage, et par une impossible logique de lui déplaire. Celle-ci fait donc tout pour atténuer la douceur que dégage son apparence, soit en jouant les garces femmes fatales, jeu peu crédible avec son apparence de lolita, soit à se comporter comme une vraie garçonne.
Une dernière anecdote, pourtant importante à signaler : Il se dégage de la jeune femme comme une odeur de folie, une sorte de rayonnement malsain propre à tous les grands malades. Ceci rend la présence de Kalhan bien peu agréable, même dans ses phases les plus adorables.
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